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Une femme s’approche sensuellement de son homme assis sur son fauteuil, elle lui dit :
- Chéri, dis-moi quelque chose de doux…
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- La soie.
- Non…quelque chose de mignon !
- Un chaton !
- Non quelque chose de sexy…
- La voisine ! !
LE SQUARE ST ROCH EN AUTOMNE
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Trois amis prennent une pause dans la cafétéria de l’entreprise.
Ils discutent de la bêtise humaine en général et de la stupidité de leurs épouses respectives en particulier.
Le premier remarque:
- Les femmes sont surtout idiotes lorsqu’elles font du shopping. Elles croient au Père Noël.
Tenez ma femme a acheté une robe de haute couture à 3000 euros et elle ne peut même pas rentrer dedans.
Le second explique:
- Moi, ma femme vient d’acheter un coupé Mercédes et elle a négligé un détail, c’est qu’elle n’a pas encore le permis de conduire…
Le troisième surenchérit:
- La mienne est sans nul doute la plus stupide des femmes ; elle a acheté une boite de 100 préservatifs avant de partir en vacances au Mexique et je ne viens même pas avec elle…
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L’histoire d’un homme qui discute avec un avocat
Dites, à combien s’élèvent vos honoraires ?
L’avocat répond :
C’est à 1000 euros pour 3 questions.
L’homme s’écrie alors :
Ce n’est pas un peu excessif comme tarif ?
L’avocat rétorque :
Non. J’attends votre troisième question maintenant.
LA FORET DE MONGEON A L AUTOMNE
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Un jeune cadre est envoyé par sa société en poste dans un pays lointain. Le temps de régler un certain nombre de problèmes matériels et d’être certain de rester là-bas, il part seul, sans sa femme.
Au bout de quelques mois sa situation semble stable, il a trouvé une maison, et il fait venir son épouse.
Le lendemain de son arrivée, le mari se lève tôt pour aller au bureau et part discrètement en la laissant dormir.
Une demi-heure plus tard la domestique la secoue en disant :
- Allons, mademoiselle, réveillez-vous ! Il faut vous habiller et rentrer chez vous…
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Un curé de campagne invite à dîner le chanoine du diocèse. Alors il met les petits plats dans les grands, demande à sa bonne de se surpasser, et sort le service en argent qu’il a hérité de sa mère.
Le dîner se déroule très bien. Mais, une fois le chanoine parti, le curé s’aperçoit que la louche à disparu.
« Un homme d’église de son rang ! il ne m’a tout de même pas volé ma louche en argent ! » pense-t-il.
Mais les jours passent et il se dit qu’après tout il s’agit d’une pièce trop importante pour qu’on puisse l’emmener par inadvertance. Alors il se décide à écrire la lettre suivante :
« Monsieur le chanoine, je ne dis pas que vous avez emporté ma louche en argent, je ne dis pas que vous ne l’avez pas emportée, mais si jamais vous l’aviez emportée, soyez assez aimable pour me la rendre. »
Trois jours plus tard, il reçoit la réponse :
« Monsieur le curé, je ne dis pas que vous couchez avec votre bonne, je ne dis pas que vous ne couchez pas avec votre bonne. Mais si vous dormiez dans votre lit, vous y auriez déjà retrouvé la louche que j’ai glissé entre les draps… »
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